Les Sénégalais à Zillebeke

Le calme revient, et le canon semble s’éloigner.
La ville est pleine de soldats, et chaque jour, de nouvelles troupes arrivent.
Un autre concert a lieu.
En raison de quelques abus, aucun passeport n’est délivré à Comines-Belgique avant le 3 janvier.
À la Kommandantur, une file de personnes attend pour obtenir un laisser-passer et pouvoir rentrer chez elles, de l’autre côté des barrières.
À Zillebeke, les Sénégalais combattent avec acharnement, mais le bruit des canons les terrifie. Leur superstition veut que celui tué par une bombe ne puisse entrer au paradis. Cela provoque un repli des forces françaises.
