Approvisionnement des militaires belges


Léon Leterme se souvient bien de l’accrochage entre les cavaliers allemands et français près de la ferme de la Rabecque et du café de l’Epine. Sa sœur et sa mère, qui s’étaient rendues là-bas, avaient été dépassées sur le chemin du retour par des habitants de la ville venus voir ce qui s’était passé.
La direction des chemins de fer belges annonce qu’elle transporte gratuitement les colis destinés aux militaires mobilisés. Les familles des soldats en profitent largement.